Travaux des élèves de Terminale G8 du lycée de Lorgues (Var) pour le concours national de la Résistance.
Les résistants varois pendant l'occupation
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Vidéo réalisée par Nathan Thislair avec Mathis Lainé, Samy Sadaoui et Vincent Scavone, avec des images des Archives départementales du Var, du site de l'I.N.A. et de British Pathé.
Par Jade Roch A la suite de l’armistice de juin 1940, à Marseille, sont nés différents groupes et organisations de sauvetage des réfugiés. Des mouvements et des réseaux se sont également développés sur la Côte méditerranéenne ( Nice, Toulon, Avignon) usant différentes méthodes de résistance tel que la diffusion de tracts et journaux clandestins, des manifestations ou encore par des services de renseignements. Des groupes de Résistance armée se sont créés à la suite de l’occupation allemande et italienne sur le territoire français. Des maquis se sont alors développés dans le Haut-Var, les Basses et Hautes-Alpes, les Alpes-Maritimes, le Vaucluse, le nord des Bouches-du-Rhône. La résistance s’organise alors en multiples organisations qui agissent contre l’occupant nazi et du régime de Vichy impliqué dans une collaboration. Les organismes de résistance se déploient alors sous forme d’organisations paramilitaires (Organisation Secrète, les Francs-Tireurs-et-Partisans communistes, l’Armée S
Ce blog réunit le travail des élèves de la classe de terminale G8 du lycée Thomas Edison de Lorgues , travail réalisé pour participer au Concours National de la Résistance et de la Déportation en cette année scolaire 2023-2024, dans le cadre des cours d'E.M.C. qui ont heureusement bénéficié cette année d'un dédoublement de la classe. Ce travail s'est effectué par des recherches et des apports pédagogiques en classe et au CDI du lycée, notamment sur le site des Archives départementales du Var d'où proviennent la plupart des illustrations des articles. La classe a bénéficié du partenariat du lycée avec Théâtre en Dracénie , avec le spectacle "le secret des ombres" vu en octobre 2023. Ensuite , un atelier délocalisé au lycée par le service éducatif des Archives départementales a permis d'affiner le travail de lecture et d'utilisation des archives , plus particulièrement sur les maquis et les faits de résistance de la population varoise. Enfin, nous avon
Par Elsa Sékula, Elisa Segretin , Paloma Vidal et Carla Rouard Quand on parle de résistance dans les camps de concentration, on parle de survie et de rester humain. C’est ce qu’a permis la musique. L’usage de la musique dans les camps de concentration est tout d’abord initié par les autorités des camps dès 1933. On parle ici de musique « contrainte », jouée sur ordre par des orchestres de détenus. Son second usage est celui fait par les détenus de manière spontanée. Autorisée par les responsables de bloc ou parfois clandestine, la musique apparaît comme un facteur psychologique de survie. Pour se procurer des instruments de musique les déportés pouvaient demander exceptionnellement de l’aide à l'extérieur mais pouvaient aussi les fabriquer sur place. Par ailleurs l'orchestre pouvait obtenir des partitions issues des effets personnels des déportés stockés dans l' Effektenkammer . Il arrivait aussi que des SS fournissent eux-mêmes des partitions qu'ils voulaient