Travaux des élèves de Terminale G8 du lycée de Lorgues (Var) pour le concours national de la Résistance.
Les résistants varois pendant l'occupation
Obtenir le lien
Facebook
X
Pinterest
E-mail
Autres applications
Vidéo réalisée par Nathan Thislair avec Mathis Lainé, Samy Sadaoui et Vincent Scavone, avec des images des Archives départementales du Var, du site de l'I.N.A. et de British Pathé.
Par Manon Quersin Pendant la seconde guerre mondiale, les travailleurs allemands partent pour le front, le régime nazi cherche alors des ouvriers français pour les envoyer travailler en Allemagne. Le STO, le Service de Travail Obligatoire est mis en place le 16 février 1943 par le chef du gouvernement de Philippe Pétain et du régime de Vichy: Pierre Laval. Comme son nom l’indique, ce système est obligatoire, il s’agit d’une main-d'œuvre non-volontaire qui n’a pas d’autre choix que d’accepter. Cependant, certains vont braver l’interdit en fuyant pour échapper au STO… ces derniers sont appelés les “réfractaires”. D’après les Archives départementales du Var, un acte de Résistance commis par un groupe de jeunes réfractaires nous est relaté: ces derniers, refusant de travailler pour l’Allemagne décident de fuir vers un maquis à Riez dans les Basses-Alpes , aujourd’hui appelées Alpes-de-Haute-Provence. Malheureusement, le groupe est victime d’une trahison, d’un piège mis en place ...
Par Luna Pianetti Ce document des archives départementales du Var nous dit comment se déroule l’occupation de Cabasse par les Allemands pendant la seconde guerre mondiale. Cela nous dit ce qu'ont fait subir les Allemands aux Cabassois, comment eux l’ont vécu et comment ils se sont libérés de cette occupation. Tout d’abord l’auteur du document, l'historien Jean-Marie Guilllon nous parle du camp Lager Wolgang qui héberge les ouvriers qui sont étrangers au village et qui sont requis pour travailler aux exploitations voisines. Ils ont reçu des espagnols encadrés en France avec la formation de travailleur étranger. Les gardiens ( les allemands, les polonais, les flamants belges et les français) doivent porter l’uniforme à croix gammée. Ils sont très souvent ivres et se montrent très violents et menacent souvent les habitants. Il y a plus de 200 allemands qui occupent le village, ils menacent de faire expulser le centre du village alors les propriétaires cèdent la place aux Allemand...
Par Elsa Sékula, Elisa Segretin , Paloma Vidal et Carla Rouard Quand on parle de résistance dans les camps de concentration, on parle de survie et de rester humain. C’est ce qu’a permis la musique. L’usage de la musique dans les camps de concentration est tout d’abord initié par les autorités des camps dès 1933. On parle ici de musique « contrainte », jouée sur ordre par des orchestres de détenus. Son second usage est celui fait par les détenus de manière spontanée. Autorisée par les responsables de bloc ou parfois clandestine, la musique apparaît comme un facteur psychologique de survie. Pour se procurer des instruments de musique les déportés pouvaient demander exceptionnellement de l’aide à l'extérieur mais pouvaient aussi les fabriquer sur place. Par ailleurs l'orchestre pouvait obtenir des partitions issues des effets personnels des déportés stockés dans l' Effektenkammer . Il arrivait aussi que des SS fournissent eux-mêmes des partitions qu'ils vo...