Différentes formes de résistance pendant la seconde guerre mondiale

Par Luna Pianetti Ce document des archives départementales du Var nous dit comment se déroule l’occupation de Cabasse par les Allemands pendant la seconde guerre mondiale. Cela nous dit ce qu'ont fait subir les Allemands aux Cabassois, comment eux l’ont vécu et comment ils se sont libérés de cette occupation.

Tout d’abord l’auteur du document, l'historien Jean-Marie Guilllon nous parle du camp Lager Wolgang qui héberge les ouvriers qui sont étrangers au village et qui sont requis pour travailler aux exploitations voisines. Ils ont reçu des espagnols encadrés en France avec la formation de travailleur étranger. Les gardiens ( les allemands, les polonais, les flamants belges et les français) doivent porter l’uniforme à croix gammée. Ils sont très souvent ivres et se montrent très violents et menacent souvent les habitants. Il y a plus de 200 allemands qui occupent le village, ils menacent de faire expulser le centre du village alors les propriétaires cèdent la place aux Allemands qui en font leurs bureaux. Les propriétaires eux sont logés autre part, ils s’introduisent chez des gens pour prendre les matelas de toute la famille, ils sont agressifs avec les civils sans raison valable. Les officiers eux s'introduisent chez les femmes qui les hébergent pour leurs volé des objets qui les intéresse et laisse les maisons très sales. En mai 1944 une compagnie entre dans le village pour faire des recherches des réfracteurs, la compagnie s’en va quelques jours après car les recherches ont été infructueuses. Le 16 juillet 1944 vers 21 heures des jeunes gens se sont réunis pour faire la fête et danser, un camion est arrivé et a tiré sur les danseurs certains réussissent à s'échapper, plusieurs personnes sont blessées. Fin 1942 un groupe de résistants s'est formé avec plus de 30 membres qui ont transporté des armes laissées par les italiens aux Luc. Il y eut une alerte alors il on donner les armes et mise en position mais il ne se passa finalement rien c’était donc une fausse alerte, après cette fausse alerte il fallait veiller au ravitaillement et à la sécurité. Après ça les allemands ont été mis au courant qu’il y avait un groupe résistant ils ont donc fouiller tout le plateau mais n’ont rien trouvé car ils étaient dans un autre quartier. Le 15 août les gens ont commencé à dire qu’ « ils ont débarqué » cela a était confirmé a 10 heures par la radio, c’est le début de la libération de Cabasse, les occupants commence à êtres tués ou capturé une fois le combat terminé les chargeurs se vide, les gens courent vers le bus, les cloche sonnez pour saluer l'arrivée des libérateurs. Seulement 5 allemands réussissent à s'enfuir. Après que les allemands soit partie les libérateurs s'occupent du ravitaillement de la population et des travailleurs. C’est la fin de l’occupation de Cabasse, les habitants respirent enfin et retournent à leurs occupations.

Extrait de l’article de Jean-Marie Guillon

(source : Archives départementales du Var)

Lettre de Raymond Bruel

Ce document est une lettre écrite par Raymond Bruel qui nous présente ces différentes formes de résistance. Tout d’abord Raymond est un ingénieur de l’artillerie navale qui est rentré dans divers mouvements de résistance. Il explique comment étaient tous les groupes de résistants auxquels il a participé. Le premier, c’est le groupe "Lorraine" qui a pour but de venir en aide aux Alsaciens et aux Lorrains, des prisonniers et évadés, il les à amenés à son domicile.

Il nous parle ensuite de "France 551" qui est un régiment de combat qui se réunit pour étudier l’emploi des armes, il recrute toutes les personnes nécessaires. Ce régiment n’a pas servi à cause des mutations et des départs mais a permis l’élaboration de la prochaine formation.

Après ça il évoque la vigilance indispensable à toute opération éventuelle à l’extérieur. Les membres sont libres et obéissent éventuellement à leurs organisations. Le but est de surveiller l'ennemi, cela n'a pas été mis en œuvre faute d'armes ou de protections.

Ensuite il y a le contact qu’il a avec le représentant de la marine et son successeur, il répond toujours à leur appel, il est personnellement en contact avec la CGT secrète, les FFI, les forces d’actions .

Et pour finir les actions de résistance dans l’exercice de ses fonctions, après le sabotage de la flotte il a donné rendez-vous à son domicile a des officiers de l’industrie navale.

Extrait de la lettre de Raymond Bruel.

(source : mémoire de guerre du var)

Les différentes formes de résistances pendant la seconde guerre

Il y a plusieurs formes de résistances, il y a des révoltes pour s’opposer aux déportations en Allemagne. donc Cela consiste à ne pas se présenter aux mairies pour le recensement, à ne pas respecter les ordres de départ et c'est qui une forme de résistance à la déportation et aussi à l'occupation. Il y a aussi le fait de chanter des chants de la résistance comme la Marseillaise et le Chant du départ qui est pour représenter la foi patriotique . Et souvent aussi des résistances civiles qui n’obéissent pas aux ordres de l’occupation. Il y a aussi des résistances militaires qui sont évidemment armées. Il y a donc une grande diversité de résistances pendant la seconde guerre mondiale en France pour s’opposer aux occupants Allemands